Oui. Nous adaptons la rédaction de nos discours à la personnalité, aux facultés d’élocution et à l’expérience de chaque orateur. Nous accompagnons aussi bien des personnalités rompues à la prise de parole que de jeunes élus n’ayant jamais été confrontés à l’exercice. Pour ces jeunes élus, nos procédons à un entraînement rapide, dispensé par visio, afin de mieux prendre en compte les éléments qui freinent la prise de parole. Cet accompagnement individualisé, dispensé le plus souvent au calme en soirée et qui peut être assorti d’exercices oratoires très simples à effectuer, offre des progrès très rapides.

Nous travaillons en français, en allemand et en anglais. Pour ces trois langues, nous vous assurons un coaching personnalisé (prononciation, accentuation EN, débit). Pour d’autres langues, nous faisons appel à des partenaires traducteurs et interprètes.

Non. Nous signons avec nos clients une clause de confidentialité avec cession totale des droits pour tous les discours que nous écrivons. Nous ne pouvons donc transmettre aucune référence sans enfreindre le Code de la propriété intellectuelle.

Nos abonnements ne sont pas nécessairement individuels. Ils peuvent être souscrits par un groupe politique pour servir plusieurs élus du groupe. Nous assurons le même accompagnement et le même suivi individualisé.

Un discours public n’est pas théorique. C’est, au sens aristotélicien, une pratique.
Parler publiquement, c’est d’abord émettre une onde sonore, grâce au diaphragme, qui traverse l’atmosphère et touche le conduit auditif d’autres êtres humains. La parole est, avant tout, un acte physique. Mésestimer cet aspect physique et biologique des choses serait une erreur : un orateur s’exprime toujours avec ses propres capacités naturelles.
Parler publiquement, c’est ensuite dispenser devant un auditoire une suite de propos raisonnés. Mieux encore : c’est se livrer publiquement à un exercice de pensée. L’argumentation est le point déterminant de tout discours. C’est même le point archimédique, celui qui permet de rallier à ses propres arguments tout être doué de raison. Le bon orateur est celui qui pense devant son auditoire en temps réel, ne craignant ni doute ni aporie, mais allant toujours droit au but.
Enfin, parler, c’est aussi avoir recours à des tropes et à des métaphores, des figures de style et des comparaisons. Ici, tout doit être fait d’après nature, sans artifice.